La dernière oeuvre du maître du Didiga, Bernard Zadi Zaourou
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Ce recueil tranche par la brièveté des poèmes - susurrée déjà par le titre - et leur heureuse docilité : ils se laissent facilement cueillir tels des jeunes filles complaisamment consentantes. Zadi, cette fois-ci, sort la poésie de sa tour étanche. Tous les poèmes ou presque sont sans masque. Cette flexibilité du ton pourrait procéder de la volonté du poète de se faire comprendre.
Ce recueil tranche par la brièveté des poèmes - susurrée déjà par le titre - et leur heureuse docilité : ils se laissent facilement cueillir tels des jeunes filles complaisamment consentantes. Zadi, cette fois-ci, sort la poésie de sa tour étanche. Tous les poèmes ou presque sont sans masque. Cette flexibilité du ton pourrait procéder de la volonté du poète de se faire comprendre.
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