Pakistan : un kamikaze tué à l'entrée d'une mosquée de la capitale
| Lu 791 fois | Publié
Un kamikaze a été tué vendredi par les forces de sécurité pakistanaises au moment où il allait faire exploser sa bombe dans une mosquée chiite de la banlieue de la capitale Islamabad, ont indiqué des sources policières.
Depuis des attentats sanglants en 2008 et 2009, la capitale pakistanaise est demeurée généralement à l'abri des violences qui endeuillent au quotidien le reste du pays.
Or vendredi, premier jour au Pakistan de l'Aïd el-Fitr, fête marquant la fin du mois du jeûne du Ramadan, un kamikaze s'est dirigé vers une mosquée de la minorité chiite, à Bharakaho, un faubourg de la capitale, avec une ceinture explosive attachée au corps.
"Un garde a ouvert le feu sur le kamikaze au moment où il entrait dans la mosquée, il l'a tué", a dit à l'AFP Nasir Mehmood, un responsable de la police locale. Selon un autre responsable de la police, Majeed-ur-Rehman, le garde a été grièvement blessé dans l'échange de tirs avec le kamikaze et a par la suite succombé à ses blessures.
Des images diffusées par les chaînes pakistanaises montraient un homme couché sur le sol de la mosquée, avec ses chaussures, et deux fils colorés attachés à son bras gauche, comme pour faire exploser une bombe.
Des hommes armés ont ouvert le feu vendredi matin sur des fidèles sortant d'une mosquée sunnite de la banlieue de Quetta, capitale de la province pakistanaise instable du Baloutchistan (sud-ouest) tuant au moins neuf personnes. Un attentat jeudi avait aussi fait 38 morts à Quetta.
Les Etats-Unis ont évacué le personnel non-essentiel de leur consulat à Lahore (est), deuxième ville du pays, citant des "menaces spécifiques".
Un kamikaze a été tué vendredi par les forces de sécurité pakistanaises au moment où il allait faire exploser sa bombe dans une mosquée chiite de la banlieue de la capitale Islamabad, ont indiqué des sources policières. Depuis des attentats sanglants en 2008 et 2009, la capitale pakistanaise est demeurée généralement à l'abri des violences qui endeuillent au quotidien le reste du pays.
Or vendredi, premier jour au Pakistan de l'Aïd el-Fitr, fête marquant la fin du mois du jeûne du Ramadan, un kamikaze s'est dirigé vers une mosquée de la minorité chiite, à Bharakaho, un faubourg de la capitale, avec une ceinture explosive attachée au corps.
"Un garde a ouvert le feu sur le kamikaze au moment où il entrait dans la mosquée, il l'a tué", a dit à l'AFP Nasir Mehmood, un responsable de la police locale. Selon un autre responsable de la police, Majeed-ur-Rehman, le garde a été grièvement blessé dans l'échange de tirs avec le kamikaze et a par la suite succombé à ses blessures.
Des images diffusées par les chaînes pakistanaises montraient un homme couché sur le sol de la mosquée, avec ses chaussures, et deux fils colorés attachés à son bras gauche, comme pour faire exploser une bombe.
Des hommes armés ont ouvert le feu vendredi matin sur des fidèles sortant d'une mosquée sunnite de la banlieue de Quetta, capitale de la province pakistanaise instable du Baloutchistan (sud-ouest) tuant au moins neuf personnes. Un attentat jeudi avait aussi fait 38 morts à Quetta.
Les Etats-Unis ont évacué le personnel non-essentiel de leur consulat à Lahore (est), deuxième ville du pays, citant des "menaces spécifiques".
Cet article vous a plu ! Partagez-le maintenant